Première rencontre [Ran]

Biip biip biip

Ce bruit incessant résonnait dans toute la chambre de la jeune fille. Surprise, elle se leva en sursaut manquant de ce taper n’import où quand enfin elle ouvrit les yeux. Ni voyant pas très clair, elle se tourna et saisit une paire de lunette posé sur la table de chevet puis les posa sur son nez. Son regard océan coupait à merveille avec son visage enfantin et ses beau yeux bridés, bien sûr, elle n’était entièrement japonaise. L’adolescente se leva donc de son lit et se dirigea d’un pas lent vers la salle de ain où elle prit une douche puis s’habilla, tout ça en l’espace d’une bonne demi-heure. Kaori n’était pas du matin, elle m’était toujours longtemps à réagir comme elle se réveillait et semblait dés fois de mauvaise humeur quand on osait la déranger alors qu’elle venait à peine d’ouvrir les yeux.

Bref! Une fois fini, elle chercha dans un tiroir de son bureau un livre qu’elle prit avec elle puis un cahier et une trousse de couleur rose puis elle fourra le tout dans son sac à main assez grand pour mettre sa chambre entière à l’intérieure.

« Go! C’est partit! »

Hope se motiva en serrant le poing lever en face de son visage puis elle quitta sa chambre avec une démarche gracieux, sautillant presque sur place. La lycéenne sortit du bâtiment pour se poser dehors dans la cour de l’horloge, là, elle s’installa tranquillement au centre sur l’édifice où reposait de grand pique métallique. Le soleil dans son dos, l’aiguille de l’horloge la cachait à merveille de ses rayons brûlant tandis qu’elle sortait ses affaires de son sac. Kaori posa son cahier sur ses genoux et l’ouvrit doucement puis elle saisit un crayon dans sa trousse. Sur la page de droite, des casses étaient dessiné et l’intérieure ce trouvait soit des personnages, soit des paysages. À vrai dire, l’adolescente adorait dessiner et crée un manga serait son plus grand rêve.

Doucement, Pearl rabattit ses genoux vers elle en callant son cahier pour qu’il soit face à elle sans qu’elle baisse la tête puis elle se plaqua contre l’énorme aiguille. Sans faire attention, une personne s’installa à côté d’elle et soupira. Surprise, elle sursauta et tomba sur le côté, ses lunettes volant un instant dans les airs pour retomber inerte sur le sol … à présent, elle ne voyait pas grand-chose à part des silhouettes flous.

« Ah! Mes lunettes! »